
Dans cette chronique radiophonique présentée par le Dr Nicholas Poelman, chiropraticien des cliniques Alinea chiropratique, l’échange aborde un article du Journal de Montréal relatant l’histoire d’une patiente québécoise qui, après avoir été informée qu’aucun traitement n’était possible pour ses problèmes de dos au Québec, s’est rendue en France pour se faire opérer. Cette situation a interpellé le Dr Poelman, chiropraticien, qui souligne l’importance de ne pas abandonner face à des diagnostics définitifs et de continuer à chercher des solutions, que ce soit au Québec ou à l’étranger.
La patiente souffrait d’une discopathie intervertébrale, une affection des disques situés entre les vertèbres, qui comprimait un nerf affectant sa vessie, entraînant probablement de l’incontinence. Le Dr Poelman, chiropraticien, explique que les problèmes de disques, comme les hernies discales, sont fréquents, mais ne causent pas toujours de douleurs. Cependant, lorsque des symptômes neurologiques graves apparaissent (perte de force, engourdissements, problèmes urinaires), une intervention chirurgicale peut devenir nécessaire. Il insiste sur le fait que la chirurgie reste un dernier recours et que de nombreuses options de traitement, comme la chiropratique et la physiothérapie, peuvent être explorées avant d’en arriver là.
Le Dr Poelman, chiropraticien, critique le fait que la patiente ait été informée qu’aucune solution n’existait pour elle au Québec, alors qu’elle a finalement trouvé une issue en France, bien que cela lui ait coûté plus de 100 000 $. Il souligne que peu de personnes peuvent se permettre une telle dépense et encourage les patients à rester curieux et à chercher des avis multiples avant de considérer une intervention chirurgicale. Il rappelle également l’importance de maintenir de bonnes habitudes de vie et de suivre les exercices recommandés par les professionnels de santé, que l’on soit opéré ou non.
En conclusion, le Dr Poelman, chiropraticien, met en avant le rôle de la chiropratique dans la gestion des problèmes de dos, en aidant les patients à rester mobiles et à adopter de bonnes pratiques pour préserver leur qualité de vie. Cependant, il reconnaît que certains cas nécessiteront inévitablement une intervention chirurgicale, surtout lorsque les symptômes neurologiques s’aggravent. Il termine en rappelant que, même en 2025, les avancées médicales permettent des interventions chirurgicales plus efficaces et moins invasives, comme pour les hanches, offrant ainsi une meilleure qualité de vie aux patients.